vendredi 27 février 2009

Le Sénégal reporté




Heureusement que c'est la crise, il n'y a plus de place à Saly où nous devions partir fin Avril pour deux semaines......
Du coup, on partira en Octobre, si il y a de la place!

samedi 14 février 2009

La Reprise


Le Major Peloux reprend le boulot lundi après quatorze mois d'arrêt pour son poignet.
Une grosse pensée pour lui et son assureur qui va ouvrir le champagne!
Vas-y Christian, cotises un peu....

vendredi 13 février 2009

La Thaïlande de Monsieur Kirtz







Petite virée en Thaïlande pour notre "Ton"
La vie est dure tout de même...

samedi 7 février 2009

Second compte rendu du Major..................

Encore un "petit compte rendu de notre Major Peloux suite à sa visite chez Jean Jacques...........
Bon courage!
Mon adjudant
Une bonne soirée
La journée avait été dure. Le vent avait soufflé en tempête une partie de la nuit et toute la matinée, ce qui avait occasionné quelques dégâts en soulevant des plastiques au milieu de mes plantations. Il avait donc fallu que je répare en vitesse, contre le vent, afin que le mal n’empire point.
Et puis, il fallait faire vite car une " marsouinette " nous attendait chez Jean Jacques, promesse d’une belle soirée ou la salive coulerait à flots, desséchant nos langues et nos palais, heureusement réhydratés par des breuvages adéquats gazeux ou non, et de couleurs et de goûts variés.
Après avoir vaqué à toutes ces tâches subalternes, et laissé couler quelques instants le robinet de la douche sur mes muscles encore engourdis par le froid, je montai dans la voiture pour me rendre chez notre marsouin bordelais cité plus haut.
Le temps pour Sylvie de passer prendre Raoul chez lui pour une sombre histoire de permis égaré… et nous voilà tous six, encerclant la table avec bienveillance, prêts à batailler ferme sans défaillir contre les adversaires qui nous seraient proposés.
Rapidement une bouteille remplie d’un breuvage gazeux, d’un blanc jaune pâle, cessa d’exister suivie d’une autre, Raoul dans un coin cajolait son Ricard. Quelques petits en cas, comblèrent momentanément notre appétit, nous faisant patienter pour la suite.
Quelques milliers de mots plus tard, l’hôtesse nous apporta de ravissantes assiettes, élégamment parées de figues, courtisées par des foies de canard transformés pour la circonstance en rondelles fort appétissantes. Brutalement les conversations cessèrent et le cliquetis des couverts fit place aux tintements des verres, le bruit des langues changea de registre sonore, et le nombre de décibels devenant inversement proportionnel à celui de l’apéritif, la pièce devint un peu plus silencieuse. Un verre d’un nectar mielleux, compléta le naturel mouvement péristaltique de notre œsophage, en faisant descendre rapidement vers notre estomac les dernières bouchées, libérant ce boyau naturel, impatient de digérer la suite.
Et quelle suite !!! Luisantes de chaleur, la peau bronzée et dorée, allongées les cuisses écartées dans un nid douillet tapissé de champignons, quelques demoiselles habituellement fort emplumées mais dénudées pour la circonstance, nous invitaient à les déguster, à les consommer sans modération… L’excitation à son comble nous les primes les unes derrière les autres, léchant une cuisse par ci, palpant un filet par là, croquant à belles dents ces généreux fruits de la nature, qui ne demandaient qu’à se laisser faire. Comblés, repus, planant sur notre nuage, mais fatigués par ces violents efforts nous délaissâmes leurs corps meurtris gésir à même la table, nous laissant aller à consommer sans trop de retenue quelques flacons fort goûteux, aptes à pérenniser la joie de nos papilles. Les grives puisqu’il faut les appeler par leur nom, ravirent nos esprits autant que nos estomac et l’absorption du vin rouge augmenta notre impression de satiété.
Hélas ! La patronne avait décidé ce soir que l’on ferait ripaille, et nous présenta dans les minutes qui suivirent une darne de saumon à faire caler plus d’un marsouin. Nous nous remîmes à la tâche. Certains se contentant d’une demie portion, d’autre plus goinfres n’hésitèrent pas à engloutir leur part en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire. Non, non mon adjudant n’attendez pas de moi que je dénonce mes camarades !...